Dernière mise à jour le 31 mai 2016 par Manger Méditerranéen
David Passafiume, un agriculteur biologique près de Toronto, a utilisé le système pendant cinq ans sur un peu plus de 4 hectars de fraises et de framboises.
«Nous étions en train de perdre une partie importante de notre culture chaque année, à cause de Botrytis et de la punaise terne » dit-il. Maintenant, ces pertes sont négligeables et les profits ont augmenté d’un quart.
L’idée d’utiliser les abeilles et les bourdons pour transporter les pesticides n’est pas nouvelle, mais BVT est l’un des premiers à tenter de commercialiser l’approche.
« C’est une bonne idée. Tant qu’il n’y a pas un effet néfaste sur les abeilles. », dit Don Steinkraus , entomologiste à l’Université de l’Arkansas à Fayetteville.
« Une autre préoccupation concerne l’utilisation de Bourdons domestiqués transportant des agents pathogènes qui peuvent être transmis dans la nature», explique Sydney Cameron de l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign.